Nos parrains

Par leurs actions, nos parrains soutiennent activement l’association No Plastic In My Sea et participent à la protection des mers et océans.

Doris Wetzel
Stéphane Le Diraison

Entrepreneure, coach et sportive de haut niveau en voile olympique, 4 fois championne d’Allemagne. Première personne à traverser la Méditerranée en kitesurf. Se prépare pour le défi d’une traversée de l’Atlantique.

“Quelle fierté d’être marraine du #NoPlasticChallenge 2020 …et quelle responsabilité ! Ce challenge est l’occasion de faire un point sur mon usage de ce matériau au quotidien. Le bilan n’est pas bon. Le plastique, autrefois symbole d’une vie facile et confortable, est devenu le fléau des temps modernes laissant des traces dans notre environnement. 

La mer et les océans, lieu de vie d’innombrables espèces marines, nous fournissent tout dont nous avons besoin : nourriture, oxygène, travail, un endroit pour nous ressourcer.  Toutefois, malgré son importance, nous ne protégeons pas assez cet écosystème. D’après l’UNESCO, Les déchets plastiques causent la mort de plus d’un million d’oiseaux marins et de plus de 100 000 mammifères marins chaque année. D’après la fondation Ellen MacArthur, il y aura plus de déchets que de poisson dans les océans d’ici 2050. 

Il n’est plus qu’une question de temps avant que notre santé soit affectée a son tour. 

Recycler le plastique, c’est bien. Éviter d’en utiliser c’est encore mieux. Relevons ce challenge ensemble et profitons de ces 15 jours pour modifier nos habitudes. » 

Navigateur, mais aussi citoyen responsable et engagé pour les océans, il court son deuxième Vendée Globe sur le bateau Time for Ocean.

“La terrible crise sanitaire liée au coronavirus, et l’une de ses conséquences – la fabrication par milliards de masques jetés un peu n’importe où- doivent aussi nous faire réfléchir à la consommation exponentielle d’objets à usage unique.

La problématique gravissime liée à la maladie ne doit pas faire oublier ce paradoxe.

On n’a jamais consommé autant de plastique alors que l’on tente, paradoxalement, de sensibiliser les gens aux enjeux environnementaux”.